Un roman estonien

100 pages et basta ! je n’ai pas pu aller plus loin, et pourtant j’avais atteint la moitié de ce premier roman.

C’est très rare que je ne finisse pas mes livres, mêmes les mauvais ! mais là, cela devenait vraiment insupportable, un style lourd, une histoire sans intérêt. L’idée pouvait pourtant être séduisante : faire raconter la vie d’un feuilletoniste par son personnage, et mêler leurs deux histoires puisque le feuilleton reflète ce qui arrive à l’écrivain.

 

Katrina Kalda – Un roman estonien – Gallimard 2010


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