Étiquette : 1ere Guerre mondiale

  • Frère d’âme

    David Diop – Frère d’âme – Seuil 2018. Ce roman était dans la liste finale de pas mal de prix littéraires mais n’a pas été couronné. C’est dommage car c’est un superbe livre, avec une écriture magnifique. [edit: ce roman a été couronné par le Goncourt des Lycéens] Ce roman ancré dans la Guerre de […]

  • Au revoir là-haut

    Au revoir là-haut

    Et bien me voilà à lire le Goncourt 2013 alors que le 2015 est décerné ! Bon, j’ai du retard… et alors ? C’est vrai que j’aurais pu le lire plus tôt car c’est un bon roman, bien mené avec des personnages attachants ou totalement horripilants. Ce roman commence en novembre 1918 avec l’attaque de la […]

  • Dans le vif

    Dans le vif

    Cette pièce retrace le parcours d’un paysan breton pris dans la tourmente de la Grande Guerre. C’est un spectacle assez poignant et réussi, même si je lui trouve des faiblesses. Les parents de Jules-Etienne Scornet sont de pauvres paysans, sa mère meurt à sa naissance et, toute sa vie, son père lui reproche ce décès. […]

  • Briand, l’Européen

    Briand, l’Européen

    Un autre volume de la collection Tribuns publiée sous l’égide de l’Assemblée nationale. Celui-ci est consacré à Aristide Briand qui n’est guère connu, si ce n’est par le nombre de rues qui portent son nom. Le petit Aristide nait en 1862 dans un milieu modeste de Nantes, père cafetier et mère employée de maison. Boursier, […]

  • Clemenceau, le combattant

    Clemenceau, le combattant

    Une autre monographie de la série Tribuns de la Documentation française, après celle consacrée à Jaurès. Cette biographie est un peu plus fouillée et détaille mieux le parcours personnel et politique ; elle s’appuie sur quelques citations en privilégiant la politique sur les bons mots (il pouvait être mordant !). Georges Clemenceau est né dans […]

  • Guerre de 14

    Guerre de 14

    Le 11 novembre a la bonne idée d’être un jour férié ! On en profite avec plaisir et la célébration est un peu abstraite, surtout maintenant qu’il n’y a plus de poilu.  Et comme dit Georges Brassens « moi mon colon, celle que je préfère c’est la guerre de 14-18 ! ». Ce jour est quand même […]